Project

Nature et économie : un regard sur les écosystèmes

Une nouvelle publication sous la direction de Jérôme Dupras et Jean-Pierre Revéret, du CIRAIG, aux presses de l’Université du Québec.

Une nouvelle publication sous la direction de Jérôme Dupras et Jean-Pierre Revéret, du CIRAIG, aux presses de l’Université du Québec. Les services rendus par les écosystèmes contribuent autant au bien-être des individus et des collectivités qu’à l’activité économique. Mais quelle est la valeur de ces actifs naturels non marchands ? Une demande sociale, entrepreneuriale et institutionnelle croissante se manifeste pour de nouveaux indicateurs économiques permettant la mesure et le suivi des variations dans l’état des écosystèmes. Cette demande se traduit par une intégration des services écosystémiques à des processus de prise de décisions publics ou privés, à l’élaboration de politiques publiques ou à des outils de mise en œuvre du développement durable et d’adaptation aux changements climatiques.C’est dans ce contexte que s’est développé cet ouvrage, qui vise à partager les recherches sur la valeur des services écosystémiques propres au Québec. Si les études portent sur ce territoire, il n’en demeure pas moins que les questions soulevées et les réponses apportées s’appliquent à d’autres contextes et à d’autres échelles. En plus d’un tour d’horizon du concept de services écosystémiques, l’ouvrage propose une série d’études de cas d’évaluation économique de ces services. Il montre aussi la façon dont les indicateurs économiques des services écosystémiques peuvent intégrer les processus décisionnels. Il s’adresse autant aux étudiants qu’aux décideurs et analystes en entreprise qui s’intéressent à l’évaluation économique de la biodiversité et de ses bénéfices.

Projets similaires

La biomasse énergie, ou bioénergie, est une énergie produite à partir de biomasse renouvelable dont l’évaluation des impacts environnementaux par l’analyse du cycle de vie (ACV) présente plusieurs défis, notamment méthodologiques. Les objectifs généraux de cette étude sont d’analyser les pratiques actuelles pour réaliser des ACV de la biomasse énergie, et de fournir des recommandations sur les meilleures pratiques actuelles et futures.

Les choix d’alimentation ont une empreinte carbone potentielle particulièrement importante et souvent méconnue du grand public. Le CIRAIG, mandaté par Polytechnique Montréal, s’est vu confier la mission de calculer l’empreinte carbone des plats proposés par la cafétéria de Polytechnique Montréal afin de permettre aux étudiants de connaître l’impact de leur assiette et de changer leurs habitudes alimentaires.

Abonnez-vous à notre infolettre !