Gisèle, une gestionnaire en tourisme, prépare un forfait voyage pour aller voir les baleines. Son objectif est de rendre le forfait durable en diminuant son impact environnemental. En cherchant sur Internet, elle tombe sur « les 7 étapes du parcours durable optimale» de TDQ. L’étape 3, celle du diagnostic, mentionne l’analyse du cycle de vie comme outil pouvant l’aider… si seulement elle savait ce que c’est et par où commencer!
With the climate change crisis fuelling devastating wildfires, droughts and heat waves, it can be easy to forget that we are also living through a global biodiversity crisis. So, what exactly is it that we gain from biodiversity — and what does protecting lands like the Greenbelt have to do with it?
Souvent débattu, l’impact environnemental des trottinettes électriques en libre-service est plutôt positif à Paris, selon Anne de Bortoli, chercheuse au laboratoire CIRAIG à Montréal, qui y voit un “vecteur de transition” pour faire évoluer les habitudes de déplacement vers des modes moins polluants.
Anne de Bortoli, chercheuse postdoctorale au Centre international de référence sur l’analyse du cycle de vie et la transition durable (CIRAIG) de Polytechnique Montréal, étudie précisément ces questions.
Les personnes qui décident de s’abstenir de consommer des produits d’origine animale comme de la viande, des produits laitiers ou des œufs réduisent de 75 % les gaz à effet de serre provenant de leur assiette, selon des données recueillies auprès d’un échantillon de 55 000 personnes.
Un système énergétique suisse neutre en carbone et indépendant en 2050 est théoriquement réalisable en utilisant les ressources locales d’énergie renouvelable actuellement inexploitées.
Est-ce mieux pour l’environnement de choisir un sac en papier plutôt qu’en plastique? Est-ce qu’une voiture électrique a une empreinte écologique moins lourde qu’une voiture à essence? Pour connaître les réponses à ces questions, il faut procéder à des analyses de cycle de vie des produits. Des expertes du Centre international de référence sur l’analyse du cycle de vie et la transition durable (CIRAIG) nous en expliquent les principes.
S’il est maintenant reconnu que la consommation de viande vient avec une lourde empreinte carbone, qu’en est-il des poissons et des fruits de mer? Selon Laure Patouillard, il est certain que plusieurs aspects autour de ces produits sont problématiques sur le plan environnemental. Elle propose des pistes de solutions pour des choix plus responsables.
Les opérateurs de trottinettes électriques en libre-service peinent encore à apporter une preuve chiffrée de leurs efforts en matière de respect de l’environnement. Mais, les autorités publiques les obligent de plus en plus à limiter leur impact environnemental, ce qui encourage les démarches vertueuses.
Discussion de l’impact environnemental et social de la consommation du chocolat avec Sergio Figueredo de Choco4Peace, Catherine Houssard, analyste au CIRAIG et Julie Francoeur, directrice générale de Fairtrade Canada.
Dimanche 2 avril, les Parisiens sont invités à se prononcer : « Pour ou contre les trottinettes en libre-service ? ». Un vote dont les conditions sont jugées trop restrictives par les professionnels. Décryptage.
« Pour ou contre les trottinettes en libre-service ? » : les Parisiens sont invités à voter le 2 avril sur cette question. Pour la chercheuse en neutralité carbone, Anne de Bortoli, les interdire n’est pas une bonne idée.
L’opinion publique pense généralement que les trottinettes électriques sont néfastes pour l’environnement : courte durée de vie, pollution des batteries électriques, remplacement de modes de transport plus vertueux et, finalement, alourdissement du bilan carbone des villes.
Les trottinettes n’auraient donc rien d’une solution d’avenir pour décarboner la mobilité urbaine. Or, si elles présentent bien quelques faiblesses, leurs atouts pour l’environnement sont aussi nombreux.
Nos déplacements font mal à la planète, et la meilleure option restera toujours de les réduire. Mais, si on n’a pas le choix et qu’on doit vraiment se rendre à l’autre bout du Canada, quelle option est la meilleure pour le climat, et à quelles conditions ?
Nombreux sont les parents écolos qui se demandent s’ils devraient opter pour les couches lavables ou les classiques jetables. Puisque l’énergie utilisée pour le lavage au Québec est généralement hydroélectrique, la couche lavable a probablement l’avantage, surtout si elle est utilisée pour toute une fratrie ou revendue sur les Kijiji et autres Marketplace de ce monde.
Bien que la réduction des émissions GES des emballages soit un bon début, c’est une toute petite partie du problème. « Quand on réduit l’empreinte carbone [de l’emballage], on réduit moins de 3 % de l’impact », dit la spécialiste, qui ajoute que le transport représente lui aussi environ 3 %.
Sapin naturel ou sapin artificiel ? Voilà l’éternelle question qu’on me pose toujours à Noël. Je vous livre ici des éléments de réponses et vous explique pourquoi ce choix seul ne suffit pas si on veut réduire significativement l’impact environnemental du temps des Fêtes.
En réponse à l’inquiétude grandissante autour des changements climatiques, pays, autorités locales et entreprises sont de plus en plus nombreux à s’engager vers la neutralité carbone.
Sur la vitrine embuée de la cantine de Polytechnique Montréal, depuis peu les étudiants peuvent lire à côté du prix des plats, leur empreinte carbone, une information qui en surprend plus d’un.
Trays in hand, Polytechnique Montreal students line up at the cafeteria and through a fogged-up buffet counter glass, check out dishes that now come with information about their carbon footprint.
Carbone opérationnel ou intrinsèque, il y a plusieurs façons de penser la carboneutralité d’un bâtiment. Mais un bâtiment n’est pas une entité déconnectée de ses usagers, de son quartier, de la société.
Polytechnique Montreal’s cafeteria wants you to consider carbon footprint: What’s the ecological cost of your meal?
Trois projets avec implication du CIRAIG sont mentionnés dans l’émission Feu Vert de Radio Canada: le projet pilote sur l’empreinte carbone, le projet Climat en chef et l’affichage de l’empreinte carbone à Polytechnique.
Saviez-vous qu’au Canada, plus de la moitié des ménages ont au moins un chat ou un chien? La coordinatrice scientifique et associée de recherche au CIRAIG Laure Patouillard nous parle du poids environnemental de nos animaux de compagnie.
Saviez-vous que votre choix d’aliments à la cafétéria a plus de poids environnemental que son emballage?
Le CIRAIG a recensé les émissions de GES des plats de la cafétéria pour chaque étape de leur cycle de vie : production, transformation, distribution, préparation et cuisson des aliments, de même que la gestion des déchets d’emballage.
Chaque personne en mange en moyenne 16 kilos par an, ce qui en fait le second fruit le plus consommé chez nous, après la banane. Mais pour conserver l’avantage environnemental des pommes, il y a quelques conseils importants à ne pas oublier.
Laure Patouillard nous explique ce qui définit un contenant écoresponsable, et finalement, qu’est-ce qu’est un contenant ?
Dominique Maxime, associé de recherche au CIRAIG, partage dans cette entrevue : “C’est un enjeu de conscientiser et d’informer les gens là-dessus, donc c’est plutôt bien de tenter un affichage de l’empreinte environnementale. Je suis quasiment certain qu’on va y arriver tôt ou tard.”
Découvrez le portrait du Pr Manuele Margni “Plaidoyer pour une science à impact” dans le Carrefour de l’actualité de Polytechnique Montréal.
La climatisation sauve des vies, mais ce confort a un prix pour la planète.
Catherine Houssard, agente de recherche au CIRAIG, explique que “Le transport représente moins de 10 % de l’empreinte carbone totale des aliments. C’est la production agricole qui est responsable d’une grande partie des émissions.”
Laure Patouillard parle des conséquences environnementales du tourisme local et international.
L’empreinte carbone des consommateurs au Québec est scrutée à la loupe pour identifier des actions de réduction efficaces.
Laure Patouillard dresse une liste des étapes à suivre pour réduire l’impact environnemental du lavage de vaisselle à la main et pour utiliser son lave-vaisselle de manière écologique.
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