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Le bœuf est la bête noire de l’alimentation en matière d’environnement. Aujourd’hui, on recense plus de 36 végéburgers, de burgers de vaches nourries à l’herbe et des burgers traditionnels. Selon plusieurs études, l’empreinte carbone d’un burger de bœuf traditionnel correspond à celle de 6 à 12 burgers végé du commerce en Amérique du Nord. Pourtant, il y a encore beaucoup d’incertitudes quant à l’empreinte écologique du bœuf provenant des vaches de pâturage.

L’ingénieure en génie alimentaire, Catherine Houssard nous explique la différence entre la viande provenant d’une vache nourrie exclusivement à l’herbe et celle élevée à l’aide d’autres produits. Elle nous révèle également quel produit aurait l’empreinte carbone la moins importante.

De plus en plus de familles remplacent les produits laitiers par des boissons d’origine végétale. Parmi les « laits » végétaux les plus populaires se trouvent les boissons d’amande, de soja et d’avoine. « Il y a différents facteurs à tenir en compte pour choisir le produit qui s’adapte le mieux à nos besoins », affirme Catherine Houssard, coordinatrice scientifique du CIRAIG. Elle explique qu’une mère de famille qui décide d’acheter du lait végétal pour ses enfants devrait surtout vérifier la valeur nutritionnelle du produit, contrairement à un consommateur moyen. L’experte nous révèle quelle boisson végétale renferme tous les nutriments nécessaires aux enfants dont l’empreinte de carbone est inférieure au lait de vache québécois.

Nicolas Merveille, professeur à l’École des sciences de la gestion de l’Université du Québec à Montréal et éminence grise derrière la Chartre des données numériques de la Ville de Montréal, se penche sur la fracture numérique qui ne cesse de s’accroître et trois façons de rendre la nouvelle normalité plus équitable pour tous.

Quelle est la performance du Québec en matière d’économie circulaire et quels gestes doivent être posés pour l’améliorer ? Le Rapport sur l’indice de circularité de l’économie du Québec, qui sera rendu public le 26 mai dans le cadre de la deuxième édition des Assises québécoises de l’économie circulaire de RECYC-QUÉBEC, répond à ces questions.

« On commence à l’évaluer et on commence aussi à poser le cadre pour bien l’évaluer. Donc, c’est en développement aujourd’hui, mais ce n’est pas évident », affirme Laure Patouillard, du Centre international de référence sur le cycle de vie des produits, procédés et services, en parlant de l’empreinte carbone des missions spatiales. Lancement, combustion de carburant, production de matériaux et assemblage d’une fusée, débris spatiaux : la liste est longue en matière d’éléments qui contribuent à leur empreinte environnementale.

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